Au Québec, une personne qui intervient pour porter secours bénévolement à quelqu’un dont la vie ou l’intégrité physique est en danger est considérée comme un sauveteur. Un sauveteur peut intervenir sur les lieux d’un incendie, par exemple.
Des mesures prévues par la Loi visant à favoriser le civisme permettent donc au sauveteur qui subit un préjudice ou dont les biens ont été endommagés de recevoir des services ou des indemnités.
Si le sauveteur meurt en accomplissant un acte de civisme ou à la suite de celui-ci, les personnes qui sont à sa charge peuvent recevoir des indemnités.